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Novembre 2011

Il était une fois un petit prince qui, un jour rencontra une petit fée…Bobd_111021_125411_7606

Alors là vous allez penser que l’histoire on la connait :  ils se marièrent, vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants. et bien pas du tout, rien à voir avec çà. La petite fée verte est en fait une jeune créatrice de robe de mariée, quand au petit prince, il est chocolatier pâtissier à Etel et ils ont associé leurs talents afin de créer une robe pour les salons du chocolat et du mariage.

Une foiBobd_110930_103934_6271s le projet défini sur dessin, la fée eut à confectionner la robe, les bijoux ainsi que l’armature des ailes au dos de la robe. Ce fût alors au tour du prince de fabriquer ses chocolats: des bonbons tempêtes au cœur de caramel et de croustillants îlots de saint cado. Il ne restait plus qu’à assembler le tout, fixer les chocolats sur la robe et les accessoires et à en croire les intéressés ce ne fut pas le plus simple.

Enfin après des mois de travail, le résultat était là, la robe a pût alors être présentée, portée lors des défilés par Anaïs Boussier. Une nouvelle création est déjà en cours de préparation pour nos deux créateurs qui s’associeront encore une fois car de cette aventure est aussi née une belle amitié.Bobd_111021_140832_7677

 




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Article du Ouest France, spécial avenir, le 20 décembre 2013

Pour le plaisir du palais, le chocolatier révèle de belles saveurs en associant de grands crus de chocolat à des épices du monde entier. En plus, le chocolat serait un antidépresseur !

« Je n’ai qu’un CAP de chocolatier », confie Maëlig Georgelin, 30 ans, propriétaire de deux magasins à Étel et Baud (Morbihan) et d’un troisième sur Internet, depuis peu. Ce jeune chef a créé son entreprise « Au Petit Prince », il y a quatre ans et demi, avec sa sœur Émeline. Aujourd’hui, ils emploient 11 personnes.

L’un des 80 meilleurs pâtissiers du monde

Maëlig fait surtout partie de « Relais dessert international », un cercle qui réunit les 80 meilleurs pâtissiers du monde. « On se réunit une dizaine de fois par an pour échanger, partager nos recettes et nos découvertes. Entre nous, il n’y a aucun secret. »

Dans son laboratoire d’une quarantaine de mètres carrés, situé au-dessus de son magasin d’Étel, le jeune chef est dans son élément : le chocolat ou plutôt les chocolats. Il travaille une vingtaine de grands crus de chocolat provenant de pays situés autour de l’Équateur, qu’il associe avec des épices de toutes sortes.

Fèves de chocolat, fleur de jasmin

Maëlig explique par exemple que « l’Alpaco de l’Équateur se marie très bien avec la fleur de jasmin ». Ou encore que « l’Otucan du Venezuela plus amer et plus boisé, fera une belle alliance avec des boutons de roses séchés du Maroc ». Que le jus de Yuzu, un agrume qui pousse en Asie, pourra peut-être révéler des notes inédites avec un chocolat Manjari de Madagascar.

« Chaque chocolat a son terrain et sa fève sa typicité », explique le chocolatier qui ne travaille « qu’avec des matières exceptionnelles ».

Expérience en Suisse, aux Antilles, à Londres

Avant de faire voyager ses clients avec ses délicieux chocolats, Maëlig a fait son apprentissage en Bretagne… et à travers le monde. « J’ai débuté chez Georges Larnicol à Quimper et chez Henri Le Roux à Quiberon. Puis j’ai travaillé en Corse, en Suisse, aux Antilles, à Londres… Pendant une dizaine d’années. Voyager permet d’apprendre différentes techniques, de s’enrichir d’idées, de se remettre en question. »

L’enseigne « Au Petit Prince » transforme quelque 7 tonnes de chocolat par an en tablettes, gâteaux, bonbons… « Un bon chocolat ne se conserve pas plus de trois semaines », précise le chef. Les amateurs ne lui en laissent pas le temps !

 

 

Durée
des études
Coût
des études
Salaires
4 ans après la troisième 1100 € à 1600 €
2 ans après la 3e pour le CAP. Un an de plus pour la mention complémentaire. 3 ans pour le bac pro ou le brevet technique. Études gratuites en lycée professionnel public. De 250 € à 500 € par an en lycée privé. Études rémunérées en apprentissage selon l’âge : de 357 € à 929 €. Au départ : 1 100 € à 1 200 € net par mois. Majoration de 20 % maximum possible avec les primes, selon entreprises. Au bout de dix ans : 1 300 € à 1 600 €.
Embauches
Localisation
Profil
2500 emplois par an
2 500 emplois chaque année dans les pâtisseries artisanales, industrielles et dans les hypermarchés qui développent un rayon pâtisserie et dans les restaurants. On recrute en région parisienne, Rhône-Alpes, Alsace… Belles opportunités en Suisse, Belgique, Allemagne, Japon, Australie, USA, Moyen-Orient et pays asiatiques. Travail tôt, le samedi, le dimanche, pendant les fêtes et l’été dans les régions touristiques. On travaille toujours debout. Être habile.

 




Article du Ouest France, le 9-10 novembre 2013, Etel

 Maëlig Georgelin, le gérant de la pâtisserie-chocolaterie Au Petit Prince, finalise sa robe en chocolat avec ses deux chocolatiers, Yoann Rolland et Thomas Pontacq. La robe défilera durant les quatre jours que dure le salon du chocolat de Vannes : « Elle sera montrée trois fois par jour, avec huit autres créations de confrères. On l’a créée en collaboration avec une styliste de Lorient, Claudine Michaud », raconte Maëlig Georgelin. Le thème retenu cette année par le salon est le cirque : « Du coup, on a réalisé une robe légère, avec du papier chocolaté et des étoiles dorées en chocolat. »

Au salon, on retrouvera toute la gamme des chocolats et bonbons du chocolatier, ainsi que les calendriers de l’Avent, remplis de chocolat bien sûr. Et pour ceux qui n’auront pas la chance de déguster du chocolat ce week-end, ils pourront saliver en se rendant sur la boutique en ligne du chocolatier : « Elle sera ouverte entre le 15 et 20 novembre. En plus de la partie chocolaterie, il y aura la confiserie et les macarons », assure Maëlig Georgelin. De quoi envisager les fêtes de fin d’année avec gourmandise.

Du 9 au 11 novembre, Salon du chocolat au parc des expositions de Vannes. Boutique en ligne : www.aupetitprince-etel.fr.




Article du Ouest France,  17/07/2013

Le pâtissier chocolatier Maëlig Georgelin a remporté le Trophée de l’innovation, concours mis en place par la chambre de commerce et d’industrie du Morbihan.

« J’avais déjà tenté ce concours en 2012. J’avais obtenu une deuxième place pour les ateliers proposés Au Petit Prince, à Étel. L’innovation, c’était des cours de pâtisserie dans une petite commune de 2 000 habitants », confie Maëlig.

Cette année, il a écouté ses clients, dont un certain nombre souffrent d’allergies au gluten, aux fruits à coques ou encore à l’arachide. « Nous avons travaillé en collaboration avec un allergologue de Brest et beaucoup échangé avec mes collègues du Relais Dessert. Nous sommes parvenus à créer une gamme de produits convenant à toutes les personnes allergiques ou aux diabétiques », se réjouit l’entrepreneur.

Une nouvelle verrine, des bonbons et tablettes de chocolat, des pâtes de fruits, ainsi qu’une bûche pour Noël, sans allergène et sans sucre sont désormais proposés Au Petit Prince.




Article du journal La Gazette, le 31/05/13

« Lorsque nous avons démarré à Etel, nous pensions déjà à ouvrir une antenne à Baud, notre commune natale. C’est donc pour nous un énorme plaisir d’ouvrir ce magasin. Nous sommes contents et fiers d’être de nouveau à Baud. Notre souhait? créer du dynamisme au centre ville de Baud, avec des retombées sur l’ensemble du commerce local » confient Émeline et Maëlig Georgelin. C’est désormais chose faite au 10, place le Sciellour (face à l’église). La responsabilité du magasin de Baud est confiée à Aurélia Le Palud qui assurera la vente de chocolats fins, macarons, guimauves, fruits confits trempés, confiseries et verrines, pâtisseries, paniers gourmands, cadeaux de fin d’année, ainsi qu’une collection de goûters, de glaces et de thés. « Tout est fait maison, sauf les glaces, qui nous sont confectionnées par un glacier vannetais » explique Émeline.




Article du journal Le télégramme, le 27mai 2013

Vendredi dernier, la pâtisserie « Au Petit Prince », dirigée par Maëlig et Émeline Georgelin, a ouvert une boutique au centre-ville, « une évidence, car des baldiviens venaient à Etel, notre première boutique créée en 2009 », soulignent ces deux enfants du pays, tout heureux de ce retour aux sources; à 34 et 29 ans, frère et sœur, ils forment un tandem performant à la tête d’une enseigne haut de gamme, qui propose des pâtisseries surprenantes et créatives telles que macarons irrésistibles, chocolats fins invitant au voyage, confiseries originales, spécialités bretonnes… Depuis bientôt quinze ans, Maëlig n’a cessé de progresser en travaillant dans des établissements de renom, France ou à l’étranger, décrochant ainsi de multiples distinctions. « En septembre 2012, les Relais Dessert International nous ont accueillis: cette association, qui regroupe les 80 meilleurs pâtissiers du monde, promeut l’excellence de la pâtisserie française et,… cerise sur le gâteau, Maëlig en est aujourd’hui le plus jeune membre », s’enthousiasme Émeline, chargée de la gestion de l’enseigne et de la vente de toutes ces saveurs aux couleurs variées, auxquelles, il faut bien l’avouer, il est bien difficile de résister!

 




Article du Ouest France, le 24/05/13

Les deux Baldiviens, Emeline et Maëlig Georgelin, âgés de 34 et 29 ans, ont ouvert une nouvelle enseigne, Au Petit Prince au 10, place le Sceillour, à Baud.

L’établissement propose des chocolats et pâtisseries haut de gamme. Ils ont ouvert leur magasin à Etel il y a quatre ans, et ont décidé d’en ouvrir un autre à Baud. Ils ont confié la responsabilité du magasin à Aurélia Le Palud, qui assurera la vente de chocolats, macarons, confiseries et verrines. En septembre dernier Maëlig Georgelin a reçu la récompense du Relais dessert international. Désormais, il fait partie des 80 meilleurs pâtissiers au monde, avec Pierre Hermé.

Ce passionné de pâtisserie a effectué son apprentissage chez Georges Larnicol, à Quimper, meilleur ouvrier de France. Puis, il a passé une année chez Henri Le Roux, à Quiberon, des restaurants étoilés de Courchevel aux Antilles, puis à Londres (il fournissait la Reine d’Angleterre) et Genève.

« Ces dix années ont été riches en expériences. Le fait de travailler dans plusieurs pays m’a permis de découvrir des techniques et des styles différents, d’apprendre à travailler les produits originaux et de trouver mon style en pâtisserie », confie Maëlig.

Contact : Au Petit Prince, ouvert le mercredi, jeudi, vendredi de 10h à 13h et de 14h15 à 19h. Samedi de 9h à 13h et de 14h15 à 19h. Dimanche de 8h30 à 12h30. www.aupetitprince-etel.fr ou contact@aupetitprince-etel.fr. Tél. 02 97 08 13 34.




Article du Ouest France, le jeudi 17 janvier 2013

Prix Espoir. Le jeune chocolatier d’Etel est un fin cordon-bleu de la pâtisserie. De son laboratoire gourmand, Au petit Prince, il fait le pari de faire déguster ses recettes originales aux quatre coins du globe.

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Maëlig 29ans et sont équipe de fins limiers de la pâtisserie chocolaterie dans sa pâtisserie à Etel, Au Petit Prince.

Entrer dans le top-ten de la pâtisserie mondiale, Maëlig Georgelin à la barre de la chocolaterie Au Petit Prince, à Etel n’en espérait pas tant.

Avec sa récente élection au sein du club Relais et dessert (80 pâtissiers sélectionnés dans le monde), les répercussions, à la fois médiatiques et économiques, ne se sont pas fait attendre. « Quelques invitations à la télé, des interviews dans la presse régionale et nationale et, surtout, un afflux de clientèle qui se déplace parfois d’assez loin pour goûter à nos recettes. Il y a eu la queue dans la rue pendant les fêtes, on n’en revenait pas… ».

« On fuit la routine »

Une vraie chance que ce label Relais et desserts. Sésame pour le vaste monde acquis de haute lutte par le jeune Etellois. Un chocolatier inventif qui, après avoir fait ses premières armes comme apprenti du côté de Quimper, n’a cessé de collectionner une à une les récompenses. En peaufinant son art en Suisse, en Grande-Bretagne, au château de Locguénolé ou chez le renommé Leroux à Quiberon.

En mars 2009, Maëlig Georgelin choisit de se poser au cœur du petit port morbihannais après quelques années de délicieuses bourlingues. Son Petit Prince est un laboratoire de création gourmande.

2013 sera cosmopolite: « Avec mon équipe, on expérimente, on teste, on goûte ensemble, on ose des mariages de saveurs. Les recettes sont parfois éphémères. Certains desserts sont réalisés en séries limitées. On adore les surprises et on fuit la routine. Nous lançons un tour du monde des épices, de grands crus puisés à leur origine, du Brésil au Vénézuéla à la Thaïlande en passant par Madagascar. Nous travaillons exclusivement avec le meilleur importateur de fèves au mondes, une société française d’ailleurs ». Parmi les nouvelles pépites ételloises, un chocolat blond mis au point par Maëlig sur une base de caramélisation et de caséine de lait, pour le goût biscuité et la pointe de sel qui va bien. Nouveauté qui s’ajoute aux spécialités du chocolatier : Ilots de Saint Cado, huîtres de la ria, bonbons tempête… Tout ceci se dévore d’abord des yeux avant de fondre dans le gosier.

2013, une boutique en ligne

En trois ans, l’équipe de Maëlig s’est déjà bien étoffée: 4 emplois en CDI et deux CDD en plus en 2012. Le Petit Prince aura aussi fin 2013 sa fenêtre virtuelle et une boutique en ligne. Vu d’ici, Maëlig est toujours le bon petit pâtissier de la commune. l’enfant chéri des amateurs de douceurs,  va néanmoins quitter son laboratoire au printemps pour échanger, avec ses pairs, les 80 membres du réseau international Relais et desserts. Maëlig s’en délecte déjà. « Le secret n’existe pas entre nous, qu’on s’appelle Pierre Hermé, (star mondiale de la pâtisserie, « The kitchen Emperor » selon le New-York Times) ou Maëlig Georgelin. Et çà, c’est génial.




Article du Ouest France, le jeudi 20 décembre 2012

Vendredi dernier, le responsable de la pâtisserie-chocolaterie au Petit Prince passait à l’antenne. Chaque semaine, la rédaction du 12-13 heures de France 3 met à l’honneur un talent breton. Elle a choisi Maëlig Georgelin qui s’est distingué par une entrée dans le cercle très fermé des meilleurs pâtissiers du monde, au sein de l’association internationale Relais dessert.

« Je suis passé par de nombreuses étapes avant d’être récompensé, explique le lauréat. Aujourd’hui, je suis le plus jeune pâtissier de cette association. » Et comme un bonheur n’arrive jamais seul, sa boutique entre en 2013 au Bottin gourmand : « J’en suis fier, c’est le travail de toute une équipe qui est récompensé », précise-t-il.

Remarqué par France 3, Maëlig Georgelin s’est donc rendu sur le plateau du journal pour y présenter ses réalisations : « On a voulu les étonner, en créant une véritable petite boutique sur le plateau. »

Visiblement, le présentateur semblait séduit par les chocolats, bûches et autres friandises, notamment les plus bretonnes. « J’ai d’abord présenté le Gwastel, à base de blé noir, de pommes au caramel et de beurre salé, indique Maëlig Georgelin. Ce gâteau avait beaucoup plu aux membres du jury Relais dessert. »

Pour les fondus de pâtisserie, le prochain atelier du Petit Prince se tiendra le 12 janvier, avec pour thème les verrines. Contact : 4, place de la République, tél. 02 97 55 30 53.