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Article du magasin « Art et Décoration », novembre et décembre 2011

 

Bobd_111012_085622_7297   Découvrez la collection Noël 2011 de la Pâtisserie Au Petit Princeà Etel.

Avec 7 nouvelles bûches, mariant élégance et raffinement. Croustillantes, fondantes ou délicates, offrez vous un dessert féérique… Couleurs, textures et saveurs sauront séduire vos palais et égayer vos tables…

Côté CadBobd_111012_085607_7296eaux, pensez aux coffrets de chocolats, au Bonbon Tempête, à L’Ilot de Saint-Cado ou offrez à l’un de vos proches un cours de Pâtisserie grâce à nos Cartes Cadeaux. Maelig et toute son équipe vous ont préparé pour les fêtes une multitude de gourmandises toutes plus envoûtantes les unes que les autres…

Osez la Collection Noël :  un macaron, une guimauve et un bonbon de chocolat aux saveurs suaves et chaleureuses de Noël…

56-ETEL 02.97.55.30.53 www.aupetitprince-etel.fr




Avez vous choisi votre dessert du Reveillon ?? Vite vite, rendez vous dans nos boutiques à Baud et Etel !!!!

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Article du Ouest France, spécial avenir, le 20 décembre 2013

Pour le plaisir du palais, le chocolatier révèle de belles saveurs en associant de grands crus de chocolat à des épices du monde entier. En plus, le chocolat serait un antidépresseur !

« Je n’ai qu’un CAP de chocolatier », confie Maëlig Georgelin, 30 ans, propriétaire de deux magasins à Étel et Baud (Morbihan) et d’un troisième sur Internet, depuis peu. Ce jeune chef a créé son entreprise « Au Petit Prince », il y a quatre ans et demi, avec sa sœur Émeline. Aujourd’hui, ils emploient 11 personnes.

L’un des 80 meilleurs pâtissiers du monde

Maëlig fait surtout partie de « Relais dessert international », un cercle qui réunit les 80 meilleurs pâtissiers du monde. « On se réunit une dizaine de fois par an pour échanger, partager nos recettes et nos découvertes. Entre nous, il n’y a aucun secret. »

Dans son laboratoire d’une quarantaine de mètres carrés, situé au-dessus de son magasin d’Étel, le jeune chef est dans son élément : le chocolat ou plutôt les chocolats. Il travaille une vingtaine de grands crus de chocolat provenant de pays situés autour de l’Équateur, qu’il associe avec des épices de toutes sortes.

Fèves de chocolat, fleur de jasmin

Maëlig explique par exemple que « l’Alpaco de l’Équateur se marie très bien avec la fleur de jasmin ». Ou encore que « l’Otucan du Venezuela plus amer et plus boisé, fera une belle alliance avec des boutons de roses séchés du Maroc ». Que le jus de Yuzu, un agrume qui pousse en Asie, pourra peut-être révéler des notes inédites avec un chocolat Manjari de Madagascar.

« Chaque chocolat a son terrain et sa fève sa typicité », explique le chocolatier qui ne travaille « qu’avec des matières exceptionnelles ».

Expérience en Suisse, aux Antilles, à Londres

Avant de faire voyager ses clients avec ses délicieux chocolats, Maëlig a fait son apprentissage en Bretagne… et à travers le monde. « J’ai débuté chez Georges Larnicol à Quimper et chez Henri Le Roux à Quiberon. Puis j’ai travaillé en Corse, en Suisse, aux Antilles, à Londres… Pendant une dizaine d’années. Voyager permet d’apprendre différentes techniques, de s’enrichir d’idées, de se remettre en question. »

L’enseigne « Au Petit Prince » transforme quelque 7 tonnes de chocolat par an en tablettes, gâteaux, bonbons… « Un bon chocolat ne se conserve pas plus de trois semaines », précise le chef. Les amateurs ne lui en laissent pas le temps !

 

 

Durée
des études
Coût
des études
Salaires
4 ans après la troisième 1100 € à 1600 €
2 ans après la 3e pour le CAP. Un an de plus pour la mention complémentaire. 3 ans pour le bac pro ou le brevet technique. Études gratuites en lycée professionnel public. De 250 € à 500 € par an en lycée privé. Études rémunérées en apprentissage selon l’âge : de 357 € à 929 €. Au départ : 1 100 € à 1 200 € net par mois. Majoration de 20 % maximum possible avec les primes, selon entreprises. Au bout de dix ans : 1 300 € à 1 600 €.
Embauches
Localisation
Profil
2500 emplois par an
2 500 emplois chaque année dans les pâtisseries artisanales, industrielles et dans les hypermarchés qui développent un rayon pâtisserie et dans les restaurants. On recrute en région parisienne, Rhône-Alpes, Alsace… Belles opportunités en Suisse, Belgique, Allemagne, Japon, Australie, USA, Moyen-Orient et pays asiatiques. Travail tôt, le samedi, le dimanche, pendant les fêtes et l’été dans les régions touristiques. On travaille toujours debout. Être habile.

 




Article du Ouest France,  17/07/2013

Le pâtissier chocolatier Maëlig Georgelin a remporté le Trophée de l’innovation, concours mis en place par la chambre de commerce et d’industrie du Morbihan.

« J’avais déjà tenté ce concours en 2012. J’avais obtenu une deuxième place pour les ateliers proposés Au Petit Prince, à Étel. L’innovation, c’était des cours de pâtisserie dans une petite commune de 2 000 habitants », confie Maëlig.

Cette année, il a écouté ses clients, dont un certain nombre souffrent d’allergies au gluten, aux fruits à coques ou encore à l’arachide. « Nous avons travaillé en collaboration avec un allergologue de Brest et beaucoup échangé avec mes collègues du Relais Dessert. Nous sommes parvenus à créer une gamme de produits convenant à toutes les personnes allergiques ou aux diabétiques », se réjouit l’entrepreneur.

Une nouvelle verrine, des bonbons et tablettes de chocolat, des pâtes de fruits, ainsi qu’une bûche pour Noël, sans allergène et sans sucre sont désormais proposés Au Petit Prince.




Article du journal La Gazette, le 31/05/13

« Lorsque nous avons démarré à Etel, nous pensions déjà à ouvrir une antenne à Baud, notre commune natale. C’est donc pour nous un énorme plaisir d’ouvrir ce magasin. Nous sommes contents et fiers d’être de nouveau à Baud. Notre souhait? créer du dynamisme au centre ville de Baud, avec des retombées sur l’ensemble du commerce local » confient Émeline et Maëlig Georgelin. C’est désormais chose faite au 10, place le Sciellour (face à l’église). La responsabilité du magasin de Baud est confiée à Aurélia Le Palud qui assurera la vente de chocolats fins, macarons, guimauves, fruits confits trempés, confiseries et verrines, pâtisseries, paniers gourmands, cadeaux de fin d’année, ainsi qu’une collection de goûters, de glaces et de thés. « Tout est fait maison, sauf les glaces, qui nous sont confectionnées par un glacier vannetais » explique Émeline.




Article du Ouest France, le 24/05/13

Les deux Baldiviens, Emeline et Maëlig Georgelin, âgés de 34 et 29 ans, ont ouvert une nouvelle enseigne, Au Petit Prince au 10, place le Sceillour, à Baud.

L’établissement propose des chocolats et pâtisseries haut de gamme. Ils ont ouvert leur magasin à Etel il y a quatre ans, et ont décidé d’en ouvrir un autre à Baud. Ils ont confié la responsabilité du magasin à Aurélia Le Palud, qui assurera la vente de chocolats, macarons, confiseries et verrines. En septembre dernier Maëlig Georgelin a reçu la récompense du Relais dessert international. Désormais, il fait partie des 80 meilleurs pâtissiers au monde, avec Pierre Hermé.

Ce passionné de pâtisserie a effectué son apprentissage chez Georges Larnicol, à Quimper, meilleur ouvrier de France. Puis, il a passé une année chez Henri Le Roux, à Quiberon, des restaurants étoilés de Courchevel aux Antilles, puis à Londres (il fournissait la Reine d’Angleterre) et Genève.

« Ces dix années ont été riches en expériences. Le fait de travailler dans plusieurs pays m’a permis de découvrir des techniques et des styles différents, d’apprendre à travailler les produits originaux et de trouver mon style en pâtisserie », confie Maëlig.

Contact : Au Petit Prince, ouvert le mercredi, jeudi, vendredi de 10h à 13h et de 14h15 à 19h. Samedi de 9h à 13h et de 14h15 à 19h. Dimanche de 8h30 à 12h30. www.aupetitprince-etel.fr ou contact@aupetitprince-etel.fr. Tél. 02 97 08 13 34.




Article du Ouest France, le jeudi 20 décembre 2012

Vendredi dernier, le responsable de la pâtisserie-chocolaterie au Petit Prince passait à l’antenne. Chaque semaine, la rédaction du 12-13 heures de France 3 met à l’honneur un talent breton. Elle a choisi Maëlig Georgelin qui s’est distingué par une entrée dans le cercle très fermé des meilleurs pâtissiers du monde, au sein de l’association internationale Relais dessert.

« Je suis passé par de nombreuses étapes avant d’être récompensé, explique le lauréat. Aujourd’hui, je suis le plus jeune pâtissier de cette association. » Et comme un bonheur n’arrive jamais seul, sa boutique entre en 2013 au Bottin gourmand : « J’en suis fier, c’est le travail de toute une équipe qui est récompensé », précise-t-il.

Remarqué par France 3, Maëlig Georgelin s’est donc rendu sur le plateau du journal pour y présenter ses réalisations : « On a voulu les étonner, en créant une véritable petite boutique sur le plateau. »

Visiblement, le présentateur semblait séduit par les chocolats, bûches et autres friandises, notamment les plus bretonnes. « J’ai d’abord présenté le Gwastel, à base de blé noir, de pommes au caramel et de beurre salé, indique Maëlig Georgelin. Ce gâteau avait beaucoup plu aux membres du jury Relais dessert. »

Pour les fondus de pâtisserie, le prochain atelier du Petit Prince se tiendra le 12 janvier, avec pour thème les verrines. Contact : 4, place de la République, tél. 02 97 55 30 53.




De gauche à droite, Maëlig Georgelin, vice-président du syndicat des pâtissiers-confiseurs-chocolatiers-glaciers du Morbihan (2ème à partir de la gauche), Marc Rivière (4è), champion du monde de pâtisserie à Lyon, en 2009, et Alain Chartier (1er à droite) président du syndicat.

Article du journal Le Télégramme le jeudi 18 octobre 2012

Le syndicat des pâtissiers-confiseurs-chocolatiers-glaciers du Morbihan organisait, mardi, à Theix, une formation sur les « bûches de Noël tendance ». Pour cette première journée de formation, le président, Alain Chartier, avait sollicité Marc Rivière, champion du monde de pâtisserie à Lyon, en 2009, et aujourd’hui chef pâtissier chez Potel et Chabot, à Paris.

Le cours de 8h avec présentation, dégustation et analyse en fin de session se déroulait à l’école des Dessert, l’établissement d’Alain Chartier, et réunissait une dizaine de patrons pâtissiers du Morbihan (dont trois femmes). « Ce que nous voulons, c’est nous former, travailler ensemble, échanger et renouveler  nos pratiques pour être créatifs et innovants », a souligné Alain Chartier. « Apporter des idées nouvelles, rapatrier, pourquoi pas, des modes d’ailleurs et pouvoir se les approprier avec le savoir-faire local. La pâtisserie est un jeu de construction ».

« Fédérer nos savoirs »

Maëlig Georgelin, le jeune vice-président et pâtissier à Etel (Au petit prince), ajoutait: « Cette journée nous a permis de fédérer nos savoirs et pratiques, de nous ouvrir à de nouvelles idées, de nouvelles textures et d’échanger. En bref, une formation très enrichissante pour nous tous ».

Cinq bûches de textures, saveurs et compositions différentes étaient proposées à la dégustation critique des professionnels.