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Article de la dépêche.fr, publié le 04/10/2013

 

 Après le repas de mariage, ce sont de véritables œuvres d’art gourmandes qui défilent sous les yeux des invités. Les pâtissiers rivalisent de créativité et de goût pour monter des gâteaux grandioses. Le macaron a la côte, tout comme la tradition des choux que certains modernisent à leur façon. les professionnels reconnus de Relais Desserts sont de vrais artistes. Voici dix de leurs plus beaux gâteaux de mariage.

Cinéma

Le pâtissier Aurélien Trittier, basé à Angers, propose aux amoureux du 7è art un gâteau pour 70 personnes, avec une pellicule en chocolat et des portraits en sucre d’icônes du cinéma. Le dessert est un crémeux passion et mangue, sur un biscuit croustillant à la coco et crème de vanille.

A l’américaine

Denis Matyasi, qui officie à Toulon, opte pour la tendance américaine, avec la pièce montée à étages, qui cache en fait un fraisier ou un framboisier.

Forme carrée

Pour le Luxembourgeois Jeff Oberweis, la pièce montée peut être carrée. Son gâteau met à l’honneur la pureté des roses fraîches. Les jeunes mariés n’ont qu’à choisir le parfum: moka, fraise ou kirsch.

Duo choux et macarons

Pas de jaloux chez la star lyonnaise de la pâtisserie Sébastien Bouillet, il y en a pour tous les becs sucrés, grâce à une pièce montée faite de macarons et de choux.

Cupcakes

 

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La pâtisserie américaine est une source d’inspiration pour les mariages, même au pays de la gastronomie. Pour preuve, le pâtissier d’Etel en Bretagne, Maëlig Georgelin, sert des cupcakes à la française, monté en gâteau de mariage. Les petits desserts sont garnie d’un crémeux à la framboise, chocolat,vanille, passion ou caramel.

Macarons au chocolat

Chez Arnaud Larher, on fait dans la simplicité pour plus de goût. La pièce montée se construit avec des macarons garnis de chocolat.

Choux multicolores

Christophe Roussel met de la couleur au moment du service du dessert grâce à une pièce montée revisitée, qui met à l’honneur des choux multicolores. Il complète son œuvre avec des macarons.

Choux, nougatine et sucre filé

Le traiteur Dalloyau met les petits plats dans les grands pour son gâteau de mariage: le « Coquembouche cage ». Sur un socle de nougatine, et dans une cage plexi, repose une pièce montée de choux garnis à la violette et à l’abricot, décoré de bouquets de dragées, d’un ruban en sucre filé et d’un oiseau en sucre.

Génoise gourmande

En alsace, Thierry Mulhaupt compose, sur demande, une génoise aux amandes, avec de la crème à la vanille et une compotée de framboise. Celle-ci peut-être remplacée par une crème légère au chocolat.

Wedding cake

A l’américaine, Richard Sève réalise une œuvre d’art gourmande : le wedding cake Sabisand, un biscuit chocolat sans farine, caramel au beurre salé, mousse au chocolat intense.




img005Le petit prince de la pâtisserie…

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Parue dans le Ouest magazine du printemps 2013

Un beau parcours pour ce jeune pâtissier qui fait partie du club très fermé des 80 meilleurs pâtissiers du monde. Ne vous fiez pas à sa gueule de beau gosse, c’est un professionnel déterminé qimg008ui met son talent au service du bonheur de nos papilles.

Maëlig Georgelin, pâtissier – chocolatier – caramélier, est né à Lorient en 1983.
Il commence son apprentissage en 2001 chez Georges Larnicol. Il va peaufiner son expérience chez Henri Leroux chocolatier reconnu et enchaîne les expériences en qualité de chef pâtissier dans des restaurants étoilés en France et à l’étranger.

Au cœur de sa pâtisserie « Au petit prince » à Étel (petite station balnéaire du Morbihan), Maëlig a su développer ses propres recettes. Il s’intéresse aussi au chocolat, et aux bonbons en développant une gamme aux couleurs chatoyantes et aux associations subtiles. Sa créativité s’exprime aussi au travers de ses pièces en chocolat. Drôles, émouvantes, chiadées, elles peuvent s’offrir en toutes occasions. On craque pour les animaux d’Afrique façon Madagascar, irrésistibles. Bon mais les guimauves nous font aussi des clins d’œil, et les chocolats ne demandent qu’à fondre dans notre bouche, que « des pousse-au-crime »…

L’ouverture de l’atelier du Petit Prince permet à ce passionné de partager avec les amateurs. Ses cours sont réservés très rapidement, succès quand tu nous tiens… Les thématiques varient au gré des saisons. À venir : macarons, tout chocolat, autour de la fraise, de la framboise. Son savoir est également partagé avec les professionnels dans le cadre de formations pour la Chambre des métiers de Bretagne.

Maëlig participe également à des démonstrations lors des plus grands salons et met en place des recettes à la demande de marques nationales. Les médias sont également friands de ce jeune pâtissier, qui a mis au point des recettes pour des magazines, et a déjà participé à de nombreuses émissions radio et télé. Le contexte d’euphorie qui englobe le domaine culinaire est propice au développement économique.

L’avenir s’annonce « so sweet » pour l’entreprise qui compte déjà huit personnes. Le prestige du label « Relais desserts international » lui ouvre de nombreuses portes. Un site internet marchand sera lancé fin 2013. Un zeste de poésie en hommage à cette pâtisserie qui stimule notre dopamine et nos endorphines. Les petits bonheurs créés portent les doux noms de Chabada, Plougaste, Lolita, Chococrak, Gwastell, Tartelette, Yuzu, Guimauve, Barre d’Étel… Un petit zoom sur le Gwastell qui lui a valu une nouvelle reconnaissance. Il s’agit d’un gâteau au caramel au beurre salé, à la gelée de pommes acidulées et son croustillant au blé noir et crêpes dentelles, ou comment sublimer l’identité bretonne.

C’est quand même un beau métier, que celui de Maëlig, donner du plaisir en toute impunité…




Paru le 20mai 2013  » Le Journal du Pâtissier »

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A Etel et baud (56), le Relais Desserts Au Petit Prince lance pour la fête des mères le dessert Mamounette qui s’inspire des couleurs actuelles, en mariant violette et pistache. Sur un pain de Gênes aux pistaches siciliennes se trouve un croustillant au praliné pistache. Puis, sous sa robe mauve brillante et nacrée, se cache un tiramisu à la violette et une crème brulée vanille du Mexique. Pour souligner le travail « pâtissier » de ce dessert, des pointes fraîches de crème ultra onctueuse mascarpone vanille et citron de Menton. Autour sont disposées, comme des bijoux, de délicieuses guimauves scintillantes à la violette, des framboises et des éclats de pistaches. Uniquement en 6/8 personnes : 35€ Bobd_130327_103135_2093-Modifier.

 

Pistache et violette se retrouvent également dans le macarons au cœur tendre et fondant de pistache sicilienne aux 2 coques, 2 couleurs, 2 saveurs. 1.10€ l’unité.

 

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Le cœur Surprise va aussi séduire les mamans. Maelig et son chocolatier ont créé un cœur bitexture et biton. Effet velours et effet brillant : deux textures, le tout en chocolat blanc évidemment. Une version rouge intense et une version blanche suprême. Au choix, les fameux Bonbons Tempête en forme de cœur, garnis de caramel au beurre salé semi-liquide ou des bonbons de chocolat… taille unique: 17.90€.

 

Bobd_130327_100722_2084-Modifier Bobd_130327_101946_2089-ModifierPour compléter la collection, des bonbons de chocolat uniques en création éphémère avec l’étui Violette Cassis, un bonbon bicouche noir à la violette. Taille unique: 14.90€.Bobd_130327_104221_2102-Modifier

 




Article paru dans le journal La Gazette le 10.04.13

Il revient aux sources

 

la gazette le 2novMaëlig Georgelin revient sur ses terres. Installé à Etel depuis quelques années avec sa sœur Émeline (qui a travaillé plusieurs années à la piscine), le baldivien ouvrira mi-mai une seconde boutique au cœur du centre-ville, 10 place Le Sciellour. « Revenir à Baud pour une boutique a toujours été dans notre idée. Ce retour aux sources est très agréable et nous sommes contents et fiers de contribuer au dynamisme de la ville de Baud. Notre père réside toujours à Baud et nous y comptons beaucoup d’amis, car nous avons passé toute notre enfance et adolescence dans cette commune », explique t-il. 
La boutique ouvrira avant la fête des mères. Maëlig envisage de marquer l’événement « avec la création d’un dessert, d’un macaron et d’un bonbon de chocolat exclusifs !  »

L’eau à la bouche

Le jeune homme nous fait déjà fondre d’envie ! Il proposera de multiples produits, tous plus tentants les uns que les autres… « Nous proposerons nos macarons, nos bonbons de chocolats, nos spécialités en chocolat Bonbon Tempête, Huîtres de la Ria, Ilots de Saint Cado, une large collection de tablettes de chocolat Grand Crus, une gamme de verrines pots et entremets glacés, notre gamme de confiserie ainsi qu’un univers cooking pour trouver tous les ingrédients adaptés pour faire de la pâtisserie à la maison. Nous proposerons aussi une collection de goûters et cakes originaux, de spécialités bretonnes et également dans un premier temps, une collection d’une douzaine de verrines gourmandes », énumère t-il.
Cette création va générer un emploi en CDI, « en espérant recruter une seconde personne dans le futur », ainsi qu’un à deux postes à la production.
Au Petit Prince s’est déjà fait un nom et se fait régulièrement remarquer par sa créativité. En 2009 Maëlig a reçu la médaille d’or des trophées de la gastronomie bretonne. Et il fait désormais partie du cercle des Relais Desserts International qui regroupe les 80 meilleurs pâtissiers au monde.




Article du Journal du pâtissier, parue en février 2012

 

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A Etel (56140), Maëlig Georgelin a multiplié les créations pascales. Coté montage en chocolat retrouvez les deux compères: Coco Licot (œuf en chocolat noir recouvert de guimauves au coquelicot) et, Coco Cado (œuf en chocolat au lait recouvert des fameux Ilots de Saint-Cado (mariage du caramel, du praliné et de la crêpe dentelle). Coco Licot et Coco Cado : 28.90€ le grand et 18.90€ le petit.

 

 

 

Coté Pâtisserie, le chef pâtissier Le Moaï. Du nom des célèbres statues de l’Ile de Pâques, ce dessert que vous retrouvez dans nos recettes centrales, allie un doux et envoutant mariage d’une compotée de framboises et d’une mousse légère à la Noisette du piémont, sublimé par un croustillant pétillant aux deux saveurs. Moaï 8p 34.90€.

Enfin, le Macaron éphémère Moaï ainsi que le bonbon de chocolat de la même collection se retrouveront en harmonie dans les nouveaux écrins macarons et chocolats de la maison.

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Vous retrouvez toute la recette du Moaï de Maëlig Georgelin

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Il reste 3 PLACES pour le COURS DE MACARONS DU 11 JANVIER A 9H !!!! Inscrivez vous vite sur notre BOUTIQUE EN LIGNE www.aupetitprince-etel.fr !!!! VIIIIIIITE !!!!!

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Article du journal La Gazette, le 31/05/13

« Lorsque nous avons démarré à Etel, nous pensions déjà à ouvrir une antenne à Baud, notre commune natale. C’est donc pour nous un énorme plaisir d’ouvrir ce magasin. Nous sommes contents et fiers d’être de nouveau à Baud. Notre souhait? créer du dynamisme au centre ville de Baud, avec des retombées sur l’ensemble du commerce local » confient Émeline et Maëlig Georgelin. C’est désormais chose faite au 10, place le Sciellour (face à l’église). La responsabilité du magasin de Baud est confiée à Aurélia Le Palud qui assurera la vente de chocolats fins, macarons, guimauves, fruits confits trempés, confiseries et verrines, pâtisseries, paniers gourmands, cadeaux de fin d’année, ainsi qu’une collection de goûters, de glaces et de thés. « Tout est fait maison, sauf les glaces, qui nous sont confectionnées par un glacier vannetais » explique Émeline.




Article du Ouest France, le 24/05/13

Les deux Baldiviens, Emeline et Maëlig Georgelin, âgés de 34 et 29 ans, ont ouvert une nouvelle enseigne, Au Petit Prince au 10, place le Sceillour, à Baud.

L’établissement propose des chocolats et pâtisseries haut de gamme. Ils ont ouvert leur magasin à Etel il y a quatre ans, et ont décidé d’en ouvrir un autre à Baud. Ils ont confié la responsabilité du magasin à Aurélia Le Palud, qui assurera la vente de chocolats, macarons, confiseries et verrines. En septembre dernier Maëlig Georgelin a reçu la récompense du Relais dessert international. Désormais, il fait partie des 80 meilleurs pâtissiers au monde, avec Pierre Hermé.

Ce passionné de pâtisserie a effectué son apprentissage chez Georges Larnicol, à Quimper, meilleur ouvrier de France. Puis, il a passé une année chez Henri Le Roux, à Quiberon, des restaurants étoilés de Courchevel aux Antilles, puis à Londres (il fournissait la Reine d’Angleterre) et Genève.

« Ces dix années ont été riches en expériences. Le fait de travailler dans plusieurs pays m’a permis de découvrir des techniques et des styles différents, d’apprendre à travailler les produits originaux et de trouver mon style en pâtisserie », confie Maëlig.

Contact : Au Petit Prince, ouvert le mercredi, jeudi, vendredi de 10h à 13h et de 14h15 à 19h. Samedi de 9h à 13h et de 14h15 à 19h. Dimanche de 8h30 à 12h30. www.aupetitprince-etel.fr ou contact@aupetitprince-etel.fr. Tél. 02 97 08 13 34.