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Magazine ELLE, Le 12 avril 2013

 

Pour un délicat biscuit : Au Petit Prince

 

L’adresse. Depuis septembre, l’enseigne de Maëlig Georgelin, pâtissier de 29ans, a rejoint le club très sélect du Relais Dessert International, au côté de 80 autres pâtissiers dans le monde.

Le produit star. Le Gwastell, un savant mélange de caramel au beurre salé, de gelée de pomme acidulée et d’un croustillant de blé noir, qui a fait entrer la maison dans la cour des grands (30€ le gâteau pour 6 personnes)

4, place de la République, Etel. Tél: 02.97.55.30.53 www.aupetitprince-etel.fr




Bulletin communal de décembre 2012 « Au pays d’Etel »

img026Le 17 septembre dernier, Émeline et Maëlig Georgelin ont eu l’honneur d’intégrer les prestigieux « Relais dessert », club très fermé des 80 meilleurs pâtissiers du monde. Ils symbolisent la réussite, l’esprit d’entreprise, le dynamisme et le talent dans leur profession. Rien de tout cela sans un travail considérable qu’ils déploient, félicitations à toute l’équipe du « Petit Prince ».




Article du Journal du pâtissier, parue en février 2012

 

Au Petit PrinceBobd_111230_152938_298-Modifier

A Etel (56140), Maëlig Georgelin a multiplié les créations pascales. Coté montage en chocolat retrouvez les deux compères: Coco Licot (œuf en chocolat noir recouvert de guimauves au coquelicot) et, Coco Cado (œuf en chocolat au lait recouvert des fameux Ilots de Saint-Cado (mariage du caramel, du praliné et de la crêpe dentelle). Coco Licot et Coco Cado : 28.90€ le grand et 18.90€ le petit.

 

 

 

Coté Pâtisserie, le chef pâtissier Le Moaï. Du nom des célèbres statues de l’Ile de Pâques, ce dessert que vous retrouvez dans nos recettes centrales, allie un doux et envoutant mariage d’une compotée de framboises et d’une mousse légère à la Noisette du piémont, sublimé par un croustillant pétillant aux deux saveurs. Moaï 8p 34.90€.

Enfin, le Macaron éphémère Moaï ainsi que le bonbon de chocolat de la même collection se retrouveront en harmonie dans les nouveaux écrins macarons et chocolats de la maison.

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Vous retrouvez toute la recette du Moaï de Maëlig Georgelin

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Article du magazine Elle, juillet 2012

 

Vous êtes dingues de desserts délicats et parfumés?

Ces artisans font des merveilles.

Au petit Prince à Etel

Pas encore 30ans et déjà plein de belles références pour Maelig Georgelin, ce petit prince (traduction de son prénom breton) qui voulait dessiner des gâteaux. Un début de carrière chez Larnicol, puis chez Le Roux à Quiberon, avant les palaces de Londres et des Antilles. Il cuisine avec des produits qu’il fait venir de leurs pays d’origine (chocolat de Madagascar, anis vert du Liban, cannelle de Java…)

Son best-seller: Le Millefeuilles Breizh, un feuilletage parfait, des pommes poêlées à la fleur de sel, du caramel au beurre salé et une crème à base de mascarpone (4.10€)

4.place de la République Etel (56)

Tel: 02.97.55.30.53

www.aupetitprince-etel.fr

ouvert 7j/7 en juillet et août




Article du « Jouranl du pâtissier », de novembre 2011

 

Au Petit Prince, La Bûche Mama

 

Bobd_111012_075136_110-Modifier Sous sa robe d’un rouge intense et ses cubes de guimauves aux coquelicots, la bûche Mama, révèle un biscuit sablé enrobé de chocolat, un crémeux et une compotée de framboises délicieusement associés au fondant d’un tiramisu aux coquelicots. Telle est la bûche proposée par la pâtisserie Au Petit Prince de la Place de la République à Etel.




Article du magasin « Art et Décoration », novembre et décembre 2011

 

Bobd_111012_085622_7297   Découvrez la collection Noël 2011 de la Pâtisserie Au Petit Princeà Etel.

Avec 7 nouvelles bûches, mariant élégance et raffinement. Croustillantes, fondantes ou délicates, offrez vous un dessert féérique… Couleurs, textures et saveurs sauront séduire vos palais et égayer vos tables…

Côté CadBobd_111012_085607_7296eaux, pensez aux coffrets de chocolats, au Bonbon Tempête, à L’Ilot de Saint-Cado ou offrez à l’un de vos proches un cours de Pâtisserie grâce à nos Cartes Cadeaux. Maelig et toute son équipe vous ont préparé pour les fêtes une multitude de gourmandises toutes plus envoûtantes les unes que les autres…

Osez la Collection Noël :  un macaron, une guimauve et un bonbon de chocolat aux saveurs suaves et chaleureuses de Noël…

56-ETEL 02.97.55.30.53 www.aupetitprince-etel.fr




Article du Ouest France, spécial avenir, le 20 décembre 2013

Pour le plaisir du palais, le chocolatier révèle de belles saveurs en associant de grands crus de chocolat à des épices du monde entier. En plus, le chocolat serait un antidépresseur !

« Je n’ai qu’un CAP de chocolatier », confie Maëlig Georgelin, 30 ans, propriétaire de deux magasins à Étel et Baud (Morbihan) et d’un troisième sur Internet, depuis peu. Ce jeune chef a créé son entreprise « Au Petit Prince », il y a quatre ans et demi, avec sa sœur Émeline. Aujourd’hui, ils emploient 11 personnes.

L’un des 80 meilleurs pâtissiers du monde

Maëlig fait surtout partie de « Relais dessert international », un cercle qui réunit les 80 meilleurs pâtissiers du monde. « On se réunit une dizaine de fois par an pour échanger, partager nos recettes et nos découvertes. Entre nous, il n’y a aucun secret. »

Dans son laboratoire d’une quarantaine de mètres carrés, situé au-dessus de son magasin d’Étel, le jeune chef est dans son élément : le chocolat ou plutôt les chocolats. Il travaille une vingtaine de grands crus de chocolat provenant de pays situés autour de l’Équateur, qu’il associe avec des épices de toutes sortes.

Fèves de chocolat, fleur de jasmin

Maëlig explique par exemple que « l’Alpaco de l’Équateur se marie très bien avec la fleur de jasmin ». Ou encore que « l’Otucan du Venezuela plus amer et plus boisé, fera une belle alliance avec des boutons de roses séchés du Maroc ». Que le jus de Yuzu, un agrume qui pousse en Asie, pourra peut-être révéler des notes inédites avec un chocolat Manjari de Madagascar.

« Chaque chocolat a son terrain et sa fève sa typicité », explique le chocolatier qui ne travaille « qu’avec des matières exceptionnelles ».

Expérience en Suisse, aux Antilles, à Londres

Avant de faire voyager ses clients avec ses délicieux chocolats, Maëlig a fait son apprentissage en Bretagne… et à travers le monde. « J’ai débuté chez Georges Larnicol à Quimper et chez Henri Le Roux à Quiberon. Puis j’ai travaillé en Corse, en Suisse, aux Antilles, à Londres… Pendant une dizaine d’années. Voyager permet d’apprendre différentes techniques, de s’enrichir d’idées, de se remettre en question. »

L’enseigne « Au Petit Prince » transforme quelque 7 tonnes de chocolat par an en tablettes, gâteaux, bonbons… « Un bon chocolat ne se conserve pas plus de trois semaines », précise le chef. Les amateurs ne lui en laissent pas le temps !

 

 

Durée
des études
Coût
des études
Salaires
4 ans après la troisième 1100 € à 1600 €
2 ans après la 3e pour le CAP. Un an de plus pour la mention complémentaire. 3 ans pour le bac pro ou le brevet technique. Études gratuites en lycée professionnel public. De 250 € à 500 € par an en lycée privé. Études rémunérées en apprentissage selon l’âge : de 357 € à 929 €. Au départ : 1 100 € à 1 200 € net par mois. Majoration de 20 % maximum possible avec les primes, selon entreprises. Au bout de dix ans : 1 300 € à 1 600 €.
Embauches
Localisation
Profil
2500 emplois par an
2 500 emplois chaque année dans les pâtisseries artisanales, industrielles et dans les hypermarchés qui développent un rayon pâtisserie et dans les restaurants. On recrute en région parisienne, Rhône-Alpes, Alsace… Belles opportunités en Suisse, Belgique, Allemagne, Japon, Australie, USA, Moyen-Orient et pays asiatiques. Travail tôt, le samedi, le dimanche, pendant les fêtes et l’été dans les régions touristiques. On travaille toujours debout. Être habile.

 




Article du Ouest France, le 9-10 novembre 2013, Etel

 Maëlig Georgelin, le gérant de la pâtisserie-chocolaterie Au Petit Prince, finalise sa robe en chocolat avec ses deux chocolatiers, Yoann Rolland et Thomas Pontacq. La robe défilera durant les quatre jours que dure le salon du chocolat de Vannes : « Elle sera montrée trois fois par jour, avec huit autres créations de confrères. On l’a créée en collaboration avec une styliste de Lorient, Claudine Michaud », raconte Maëlig Georgelin. Le thème retenu cette année par le salon est le cirque : « Du coup, on a réalisé une robe légère, avec du papier chocolaté et des étoiles dorées en chocolat. »

Au salon, on retrouvera toute la gamme des chocolats et bonbons du chocolatier, ainsi que les calendriers de l’Avent, remplis de chocolat bien sûr. Et pour ceux qui n’auront pas la chance de déguster du chocolat ce week-end, ils pourront saliver en se rendant sur la boutique en ligne du chocolatier : « Elle sera ouverte entre le 15 et 20 novembre. En plus de la partie chocolaterie, il y aura la confiserie et les macarons », assure Maëlig Georgelin. De quoi envisager les fêtes de fin d’année avec gourmandise.

Du 9 au 11 novembre, Salon du chocolat au parc des expositions de Vannes. Boutique en ligne : www.aupetitprince-etel.fr.




Article du Journal La Gazette, le 25 octobre 2013

Invité à l’Elysée

Maëlig Georgelin, jeune chocolatier baldivien, a été invité par François Hollande, Président de la République, pour célébrer la Saint-Michel, fête des pâtissiers. « C’est invitation fait suite à mon implication en tant que vice-président du syndicat départemental de la pâtisserie et de pâtissier en Bretagne. Nous étions 230 pâtissier venus de toutes les régions françaises, dont plusieurs membres Relais Desserts, car nous assurons aussi la promotion de la Haute pâtisserie dans le monde. » souligne Maëlig. Une trentaine de Meilleurs ouvriers de France et champions du monde étaient également présents. Chaque région devait apporter ses spécialités.

« Nous avons donc pu faire goûter au président Hollande le gâteau breton, le far breton ainsi que le Kouign Amann dont il raffole d’après les propos de Valérie Trierweiller également présente. A cette occasion, l’Élysée nous a offert une veste avec le logo de la Confédération nationale de la pâtisserie, notre nom ainsi que le drapeau tricolore sur le col. » « Ce fut un moment étonnant et impressionnant, car il est rare d’être  convié à l’Élysée par le Chef de l’État et de pouvoir échanger avec lui des problèmes que nous pouvons rencontrer quotidiennement dans notre métier. » S’en est suivi un apéritif durant lequel nous avons pu échanger entre confrères pâtissiers. Au Petit Prince sera présent aux salons du Chocolat de Lorient les 2,3 et 4 novembre et de Vannes (avec à la clé la confection d’une robe en chocolat) les 8,9,10 et 11 novembre.




Article du Ouest France, le 11 octobre 2013, pays de Pontivy

Maëlig Georgelin, jeune chef pâtissier dont l’atelier Le Petit Prince est installé à Baud et à Etel, affiche un sourire éclatant. Le 30 septembre dernier, il a été reçu à l’Élysée durant trois heures. Et a pu parler au président de la République, François Hollande. Mieux, il a pu lui faire goûter ses pâtisseries.

« J’étais invité en tant que vice-président du syndicat départemental de la pâtisserie pour célébrer la Saint-Michel, la fête des pâtissiers, raconte Maëlig Georgelin. Au total, nous étions 230 pâtissiers venus de toutes les régions françaises, dont une trentaine  des Meilleurs ouvriers de France et champions du monde, ainsi que plusieurs membres de l’association Relais desserts, dont je fais partie et qui rassemble l’élite mondiale de la Haute pâtisserie française afin de la faire rayonner aux quatre coins du globe ».

Ces grands chefs représentaient toutes les régions françaises. Alors? Impressionné? « Oh oui. Tout le monde ne met pas les pieds à l’Élysée. C’est un honneur d’être reçu par un président de la République quel qu’il soit. C’est le chef de l’État. »

« Je l’ai trouvé très simple ».

Pour le jeune homme, le moment était « étonnant » et loin d’être formel. « J’ai pu m’adresser à François Hollande. Je l’ai trouvé très simple, abordable et à l’écoute. C’était vraiment un moment d’échange sympa, sans gros service de sécurité. Le président évoluait parmi nous. Je me suis permis de lui dire qu’il serait bien de trouver une solution pour que les banques aident les jeunes à s’investir ou à créer des embauches. Il a bien écouté. Il a l’air conscient du problème. Il a précisé qu’il mettait des choses en place avec la banque publique d’investissement. »

Sourire du pâtissier de Baud: « François Hollande a également eu quelques mots pour dire combien il se sentait fier de la pâtisserie française, qui est championne du monde en titre. Partout dans ses déplacements à l’étranger, on lui en parle ».

« Le président raffole du kouign amann »

Chaque région ayant amené ses spécialités, « j’ai pu faire goûter les miennes au président, n’en revient toujours pas Maëlig Georgelin. Le gâteau breton, le far breton et le kouign amann… dont il raffole d’après ce que m’a dit Valérie Trierweiler, sa compagne ». Tous les invités sont repartis avec une veste portant leur nom, le logo de la confédération nationale de la pâtisserie et un drapeau tricolore sur le col.

Maëlig Georgelin retournera-t-il un jour à l’Élysée? « Si on me le propose, je laisserai ma place à un autre, je pense que c’est une expérience enrichissante », glisse-t-il. D’ici là, le jeune pâtissier sera présent aux salons du chocolat de Lorient, les 2,3 et 4 novembre, et de Vannes les 8,9 et 10 novembre, pendant lequel il réalisera une robe en chocolat. Peut-être Valérie Trierweiller accepterait-elle de la porter?