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Article du Ouest France, 22/08/2013

C’est une drôle d’interview qu’à vécu ce mercredi après-midi le patron de la pâtisserie Au Petit Prince, à Étel. Une journaliste, spécialisée dans la gastronomie pour le journal américain The New Yok Times, est venue lui rendre visite.

« Elle est venue faire un reportage sur les caramels au beurre salé. Elle cherchait un produit de qualité et un savoir faire français, qui s’inscrit dans la tradition bretonne », explique Maëlig Georgelin, patron de la pâtisserie. Pourquoi cette petite pâtisserie d’Étel ? « Nous faisons partie des Relais dessert international. C’est un groupe qui rassemble les 80 meilleurs pâtissiers dans le monde. »

Au Petit Prince, les caramels, on les fait à la main, en petite quantité. « Pour qu’elle comprenne bien comment on les fabrique, je lui ai fait faire des caramels au beurre salé de A à Z, sous forme de bonbons. » La journaliste américaine à ainsi pu percer tous les mystères de la fabrication des précieuses confiseries, sous l’œil avisé du chef. « Je lui ai expliqué que la principale différence provient de la sélection des ingrédients et de la température de cuisson. »

Et pour communiquer, le chef et la journaliste ont utilisé la langue de Shakespeare. Pas vraiment un problème pour le pâtissier. « J’ai travaillé à Londres un moment. Il me restait quelques bribes d’anglais. »

Une heure et demie plus tard, la journaliste est repartie, emportant avec elle les secrets de la fabrication du caramel. Une rencontre que Maëlig n’est pas prêt d’oublier. « Je n’aurais jamais imaginé avoir le New York Times dans notre petite ville d’Étel. C’est une belle anecdote. »




Article du Ouest France,  17/07/2013

Le pâtissier chocolatier Maëlig Georgelin a remporté le Trophée de l’innovation, concours mis en place par la chambre de commerce et d’industrie du Morbihan.

« J’avais déjà tenté ce concours en 2012. J’avais obtenu une deuxième place pour les ateliers proposés Au Petit Prince, à Étel. L’innovation, c’était des cours de pâtisserie dans une petite commune de 2 000 habitants », confie Maëlig.

Cette année, il a écouté ses clients, dont un certain nombre souffrent d’allergies au gluten, aux fruits à coques ou encore à l’arachide. « Nous avons travaillé en collaboration avec un allergologue de Brest et beaucoup échangé avec mes collègues du Relais Dessert. Nous sommes parvenus à créer une gamme de produits convenant à toutes les personnes allergiques ou aux diabétiques », se réjouit l’entrepreneur.

Une nouvelle verrine, des bonbons et tablettes de chocolat, des pâtes de fruits, ainsi qu’une bûche pour Noël, sans allergène et sans sucre sont désormais proposés Au Petit Prince.




Article du journal La Gazette, le 31/05/13

« Lorsque nous avons démarré à Etel, nous pensions déjà à ouvrir une antenne à Baud, notre commune natale. C’est donc pour nous un énorme plaisir d’ouvrir ce magasin. Nous sommes contents et fiers d’être de nouveau à Baud. Notre souhait? créer du dynamisme au centre ville de Baud, avec des retombées sur l’ensemble du commerce local » confient Émeline et Maëlig Georgelin. C’est désormais chose faite au 10, place le Sciellour (face à l’église). La responsabilité du magasin de Baud est confiée à Aurélia Le Palud qui assurera la vente de chocolats fins, macarons, guimauves, fruits confits trempés, confiseries et verrines, pâtisseries, paniers gourmands, cadeaux de fin d’année, ainsi qu’une collection de goûters, de glaces et de thés. « Tout est fait maison, sauf les glaces, qui nous sont confectionnées par un glacier vannetais » explique Émeline.




Article du journal Le télégramme, le 27mai 2013

Vendredi dernier, la pâtisserie « Au Petit Prince », dirigée par Maëlig et Émeline Georgelin, a ouvert une boutique au centre-ville, « une évidence, car des baldiviens venaient à Etel, notre première boutique créée en 2009 », soulignent ces deux enfants du pays, tout heureux de ce retour aux sources; à 34 et 29 ans, frère et sœur, ils forment un tandem performant à la tête d’une enseigne haut de gamme, qui propose des pâtisseries surprenantes et créatives telles que macarons irrésistibles, chocolats fins invitant au voyage, confiseries originales, spécialités bretonnes… Depuis bientôt quinze ans, Maëlig n’a cessé de progresser en travaillant dans des établissements de renom, France ou à l’étranger, décrochant ainsi de multiples distinctions. « En septembre 2012, les Relais Dessert International nous ont accueillis: cette association, qui regroupe les 80 meilleurs pâtissiers du monde, promeut l’excellence de la pâtisserie française et,… cerise sur le gâteau, Maëlig en est aujourd’hui le plus jeune membre », s’enthousiasme Émeline, chargée de la gestion de l’enseigne et de la vente de toutes ces saveurs aux couleurs variées, auxquelles, il faut bien l’avouer, il est bien difficile de résister!

 




Article du Ouest France, le 24/05/13

Les deux Baldiviens, Emeline et Maëlig Georgelin, âgés de 34 et 29 ans, ont ouvert une nouvelle enseigne, Au Petit Prince au 10, place le Sceillour, à Baud.

L’établissement propose des chocolats et pâtisseries haut de gamme. Ils ont ouvert leur magasin à Etel il y a quatre ans, et ont décidé d’en ouvrir un autre à Baud. Ils ont confié la responsabilité du magasin à Aurélia Le Palud, qui assurera la vente de chocolats, macarons, confiseries et verrines. En septembre dernier Maëlig Georgelin a reçu la récompense du Relais dessert international. Désormais, il fait partie des 80 meilleurs pâtissiers au monde, avec Pierre Hermé.

Ce passionné de pâtisserie a effectué son apprentissage chez Georges Larnicol, à Quimper, meilleur ouvrier de France. Puis, il a passé une année chez Henri Le Roux, à Quiberon, des restaurants étoilés de Courchevel aux Antilles, puis à Londres (il fournissait la Reine d’Angleterre) et Genève.

« Ces dix années ont été riches en expériences. Le fait de travailler dans plusieurs pays m’a permis de découvrir des techniques et des styles différents, d’apprendre à travailler les produits originaux et de trouver mon style en pâtisserie », confie Maëlig.

Contact : Au Petit Prince, ouvert le mercredi, jeudi, vendredi de 10h à 13h et de 14h15 à 19h. Samedi de 9h à 13h et de 14h15 à 19h. Dimanche de 8h30 à 12h30. www.aupetitprince-etel.fr ou contact@aupetitprince-etel.fr. Tél. 02 97 08 13 34.




Article du Ouest France, le jeudi 17 janvier 2013

Prix Espoir. Le jeune chocolatier d’Etel est un fin cordon-bleu de la pâtisserie. De son laboratoire gourmand, Au petit Prince, il fait le pari de faire déguster ses recettes originales aux quatre coins du globe.

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Maëlig 29ans et sont équipe de fins limiers de la pâtisserie chocolaterie dans sa pâtisserie à Etel, Au Petit Prince.

Entrer dans le top-ten de la pâtisserie mondiale, Maëlig Georgelin à la barre de la chocolaterie Au Petit Prince, à Etel n’en espérait pas tant.

Avec sa récente élection au sein du club Relais et dessert (80 pâtissiers sélectionnés dans le monde), les répercussions, à la fois médiatiques et économiques, ne se sont pas fait attendre. « Quelques invitations à la télé, des interviews dans la presse régionale et nationale et, surtout, un afflux de clientèle qui se déplace parfois d’assez loin pour goûter à nos recettes. Il y a eu la queue dans la rue pendant les fêtes, on n’en revenait pas… ».

« On fuit la routine »

Une vraie chance que ce label Relais et desserts. Sésame pour le vaste monde acquis de haute lutte par le jeune Etellois. Un chocolatier inventif qui, après avoir fait ses premières armes comme apprenti du côté de Quimper, n’a cessé de collectionner une à une les récompenses. En peaufinant son art en Suisse, en Grande-Bretagne, au château de Locguénolé ou chez le renommé Leroux à Quiberon.

En mars 2009, Maëlig Georgelin choisit de se poser au cœur du petit port morbihannais après quelques années de délicieuses bourlingues. Son Petit Prince est un laboratoire de création gourmande.

2013 sera cosmopolite: « Avec mon équipe, on expérimente, on teste, on goûte ensemble, on ose des mariages de saveurs. Les recettes sont parfois éphémères. Certains desserts sont réalisés en séries limitées. On adore les surprises et on fuit la routine. Nous lançons un tour du monde des épices, de grands crus puisés à leur origine, du Brésil au Vénézuéla à la Thaïlande en passant par Madagascar. Nous travaillons exclusivement avec le meilleur importateur de fèves au mondes, une société française d’ailleurs ». Parmi les nouvelles pépites ételloises, un chocolat blond mis au point par Maëlig sur une base de caramélisation et de caséine de lait, pour le goût biscuité et la pointe de sel qui va bien. Nouveauté qui s’ajoute aux spécialités du chocolatier : Ilots de Saint Cado, huîtres de la ria, bonbons tempête… Tout ceci se dévore d’abord des yeux avant de fondre dans le gosier.

2013, une boutique en ligne

En trois ans, l’équipe de Maëlig s’est déjà bien étoffée: 4 emplois en CDI et deux CDD en plus en 2012. Le Petit Prince aura aussi fin 2013 sa fenêtre virtuelle et une boutique en ligne. Vu d’ici, Maëlig est toujours le bon petit pâtissier de la commune. l’enfant chéri des amateurs de douceurs,  va néanmoins quitter son laboratoire au printemps pour échanger, avec ses pairs, les 80 membres du réseau international Relais et desserts. Maëlig s’en délecte déjà. « Le secret n’existe pas entre nous, qu’on s’appelle Pierre Hermé, (star mondiale de la pâtisserie, « The kitchen Emperor » selon le New-York Times) ou Maëlig Georgelin. Et çà, c’est génial.




Article du Ouest France, le 17 janvier 2013

Maëlig Georgelin, la crème des chocolatiers

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Le pâtissier d’Etel Maëlig Georgelin souhaite partager son Prix Espoir avec sa sœur et toute son équipe.

Prix Espoir. Maëlig Goergelin, pâtissier, appartient au club mondial Relais et desserts.

« C’est une récompense pour moi, pour ma sœur Emeline, toute mon équipe de pâtissiers et de vente. On essaye toujours de créer de nouveaux desserts, plus riches et plus gourmands, en travaillant avec de nombreux artisans. L’aventure dure depuis trois ans et demi. Notre sélection au club Relais et desserts, parmi les 80 plus grands pâtissiers du monde, nous permet de toujours innover. En 2013, on va essayer de continuer à bien travailler, pour créer pleins de nouvelles gourmandises. Une boutique en ligne va aussi voir le jour. »




Article du Ouest France, le jeudi 20 décembre 2012

Vendredi dernier, le responsable de la pâtisserie-chocolaterie au Petit Prince passait à l’antenne. Chaque semaine, la rédaction du 12-13 heures de France 3 met à l’honneur un talent breton. Elle a choisi Maëlig Georgelin qui s’est distingué par une entrée dans le cercle très fermé des meilleurs pâtissiers du monde, au sein de l’association internationale Relais dessert.

« Je suis passé par de nombreuses étapes avant d’être récompensé, explique le lauréat. Aujourd’hui, je suis le plus jeune pâtissier de cette association. » Et comme un bonheur n’arrive jamais seul, sa boutique entre en 2013 au Bottin gourmand : « J’en suis fier, c’est le travail de toute une équipe qui est récompensé », précise-t-il.

Remarqué par France 3, Maëlig Georgelin s’est donc rendu sur le plateau du journal pour y présenter ses réalisations : « On a voulu les étonner, en créant une véritable petite boutique sur le plateau. »

Visiblement, le présentateur semblait séduit par les chocolats, bûches et autres friandises, notamment les plus bretonnes. « J’ai d’abord présenté le Gwastel, à base de blé noir, de pommes au caramel et de beurre salé, indique Maëlig Georgelin. Ce gâteau avait beaucoup plu aux membres du jury Relais dessert. »

Pour les fondus de pâtisserie, le prochain atelier du Petit Prince se tiendra le 12 janvier, avec pour thème les verrines. Contact : 4, place de la République, tél. 02 97 55 30 53.




Article du journal le Télégramme, samedi 10 novembre 2012

 

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Robe réalisée par l’atelier « Au petit prince  » à Etel

Depuis hier et jusqu’à dimanche soir 19h, le Salon du chocolat de Bretagne attend les gourmands à Chorus. De nombreux meilleurs ouvriers de France, des chefs cuisiniers et des professionnels de la pâtisserie présentent leurs savoir-faire. Sur les étals, les visiteurs auront l’embarras du choix pour se faire des réserves de chocolats, macarons, thé ou épices, entre autres, pour l’hiver.




De gauche à droite, Maëlig Georgelin, vice-président du syndicat des pâtissiers-confiseurs-chocolatiers-glaciers du Morbihan (2ème à partir de la gauche), Marc Rivière (4è), champion du monde de pâtisserie à Lyon, en 2009, et Alain Chartier (1er à droite) président du syndicat.

Article du journal Le Télégramme le jeudi 18 octobre 2012

Le syndicat des pâtissiers-confiseurs-chocolatiers-glaciers du Morbihan organisait, mardi, à Theix, une formation sur les « bûches de Noël tendance ». Pour cette première journée de formation, le président, Alain Chartier, avait sollicité Marc Rivière, champion du monde de pâtisserie à Lyon, en 2009, et aujourd’hui chef pâtissier chez Potel et Chabot, à Paris.

Le cours de 8h avec présentation, dégustation et analyse en fin de session se déroulait à l’école des Dessert, l’établissement d’Alain Chartier, et réunissait une dizaine de patrons pâtissiers du Morbihan (dont trois femmes). « Ce que nous voulons, c’est nous former, travailler ensemble, échanger et renouveler  nos pratiques pour être créatifs et innovants », a souligné Alain Chartier. « Apporter des idées nouvelles, rapatrier, pourquoi pas, des modes d’ailleurs et pouvoir se les approprier avec le savoir-faire local. La pâtisserie est un jeu de construction ».

« Fédérer nos savoirs »

Maëlig Georgelin, le jeune vice-président et pâtissier à Etel (Au petit prince), ajoutait: « Cette journée nous a permis de fédérer nos savoirs et pratiques, de nous ouvrir à de nouvelles idées, de nouvelles textures et d’échanger. En bref, une formation très enrichissante pour nous tous ».

Cinq bûches de textures, saveurs et compositions différentes étaient proposées à la dégustation critique des professionnels.